Vous le savez certainement, nous sommes enveloppés et entourés d’ondes diverses.
Elles sont visibles, comme la lumière, ou invisibles comme les ondes radio AM et FM, les ondes de transmission pour les télévisions hertzienne, numérique, par satellite, les ondes pour les téléphones portables ondes GSM, 2G, 3G, 4G, et celles des fixes sans fil, puis les ondes Wifi, Wimax, bluetooth, les ondes NFC ou RFID, les infra-rouges….Et ce à des échelles locales, internationales, mondiales…
Et chez vous, avez vous pensé que vous êtes soumis aussi à ces ondes ?
De plus aujourd’hui, nous y rajoutons les ondes des compteurs d’eau, d’électricité et de gaz… qui souvent se situe à l’intérieur de vos maisons, ou de vos appartements.
L’Association de Recherche Thérapeutique Anti Cancéreuse édite 30 recommandations pour se protéger contre cette maladie galopante : règle n°23 : « Se protéger des radiations électromagnétiques pulsées (REMP) ». Alors comment fait -on ?
Le personnel de la SDEA vous dira que l’appareil nouvel génération émet quelques secondes par jour soit beaucoup moins que votre portable. Les appareils posés permettront de récolter les données concernant vos consommations d’eau et ainsi prévenir la moindre fuite.
Quelques secondes, …mais divisées, réparties tout le long de la journée. Une impulsion plus ou moins toutes les 8 secondes, soit 450 par heure, donc 10 800 par jour !
La même chose avec votre compteur d’électricité…
Vous comprenez l’effet cumulé et infini car dans une copropriété, les dégâts sont incommensurables.
Nous sommes des êtres humains fatigués, avec des pathologies parfois lourdes et de plus en plus tôt. Que les ondes et notre nourriture industrialisée nous mènent vers le cimetière est un secret pour personne.
Je vous invite à lire certaines informations sur le sujet, il y en a bien d’autres, soyez curieux, et demander un compteur sans émissions d’ondes.
Pour vous, votre famille, mais également pour les emplois en France car quand tout sera automatisé (vive les caisses automatiques dans les supermarchés), que nous restera-t-il ?
Article publié par Murcha, habitante de Marlenheim